Famille de Pierre Jean BADIER :
DICTIONNAIRE GEOGRAPHIQUE, HISTORIQUE ET BIOGRAPHIQUE D'INDRE-ET-LOIRE, J.-X. CARRE DE BUSSEROLE (1878):
Jean-Etienne BADIER ( cf. ci-dessous), "prieur de l'abbaye de Saint-Julien de Tours, né à Dol (-de-Bretagne (35)), au mois de mai 1650, entra dans l'ordre des bénédictins le 12 août 1668. Après avoir professé pendant quelques temps la théologie et la philosophie à l'abbaye de Saint-Denis, il furt envoyé comme prieur à l'abbaye de Saint-Julien de Tours, ou il rédigea un ouvrage intitulé : " De la sainteté de l'état monastique, ou l'on fait voir l'histoire de l'abbaye de Marmoutier et de celle de l'église royale de saint-Martin de Tours, pour servir de réponse à la vie de Saint-Martin, donnée par M. Gervaise, prévôt de l'église de Saint-Martin; Tours, J. Barthe et Michel Duval, 1700, in-12. Du prieuré de Saint-Julien, il passa à celui de Corbie, ou il mourrut le 16 juillet 1719. Moréri, Diction. hist., suppl. I, 82. - Le Cerf, Bibliot. hist. des auteurs de la congrégation de Saint-Maur".
(Merci à Michel Pelé pour les données généalogiques ci-dessous)
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MONTLOUIS ET SON CANTON, S. LIVERNAT & P. DUCHEMIN, 1998 :
" Vers 1914, la fanfare municipale, considérée comme l'une des meilleurs du département, s'est regroupée devant son quartier général, la café Badier, le café "Rouge" du début du siècle. Son directeur, Ernest Gouillon, était tailleur pour hommes et sa mère tenait l'épicerie voisine. Le café Badier fut remplacé, un peu plus tard, par la boucherie Plummereau, du nom de son nouveau propriétaire, Monsieur Plummereau dit Laplume. Mademoiselle Reine Bongard, en Madelon, tient ici le drapeau à la croix blanche".
(Le BADIER propriétaire du café est un cousin)
ABJURATION A SALIGNY-SUR-ROUDON (03) :REVUE GENEA (Banque de France), N°29, 1994 :
" Ce jourd'huy Dimanche septieme d'Août l'an mil six cent soixante
et douze par devant messire Pierre Michel prêtre prieur curé
de Saligny et comme délégué en cette part de Monsieur
Sannatier vicaire général de Monseigneur l'Illustricisme et
Revendissime évêque d'Autun, et en présence de messire
Louys Allard prêtre vicaire dudit Saligny, de Messire Gaspard de Colligny
chevalier marquis de Saligny, etc, et des témoins cy après
nommés, Jean Folquier fils de feu Jean Folquier marchand de Saint-Jean
de Roquefeuiles Cévennes et de Anne de Cerve ses père et mère
et Guillaume Fajon fils de défunt Jean Fajon vivant menuisier dudit
lieu de Saint-Jean de Roquefeuil lequel n'a (pu ?) nommer sa déffunte
mère ont fait abjuration de la religion prétendue
réformée et embrassée la religion catholique Apostolique
et Romaine dedans l'Eglise dudit Saligny en laquelle estaient assemblés
grans nombre des habitants pour y entendre la messe, desquels nous avons
remarqué Messire Jean Picard procureur du Roy et basses marches de
Bourbonnais, Messire Jean Badier Notaire Royal et procureur d'office de
ce lieu, Messire Raymond Solages marchand de la cavalerie en Rouergue,
Vincent Le Bailly maître doreur de la ville de Cluny, François
Desnaux maréchal, Claude de Ramilly escuyer fils de feu Gilbert de
Ramilly seigneur de Charnay (...) de Messire Jean Roquette bourgeois (...)
en Rouergue qui ont tous signé exepté ledit Fajon qui a
déclaré ne le savoir enquis.". R. SAUMANDE.
DICTIONNAIRE DE LA NOBLESSE (ABA-BER),
F.AUBERT de La CHESNAY-DESBOIS et BADIER, 3me éd. Berger-Levrault,
1980 :
A noter: Je n'ai trouvé aucune informations sur le
BADIER associé à La Chesnay-Desbois (une question posée à
ce sujet dans Généalogie magazine il y a quelques années
est restée sans réponse). Il est précisé, en
préface (page VII) de l'édition consultée, que le dit
BADIER était son élève et qu'il avait continué
l'oeuvre de La Chesnay-Desbois après son décès.
" BADIER (de) :
Famille noble originaire de la province d'Auvergne, aujourd'hui établie
en Provence. Gilbert de BADIER se maria, dans la ville de Riz le 12
juillet 1551, avec Antoinette de Chevrier de laquelle il eut :
Antoine, qui suit; et Gilbert, rapporté après
son frère. Antoine a fait la branche des seigneur de Verseilles
et de Sérézat, en Bourbonnais, dont par plusieurs naissance
de potérité est descendu Jacques de BADIER,
lieutenant général des armées du roi et commandeur de
l'ordre militaire de St-Louis, père de : Pierre Jacques de BADIER
: Major de cavalerie dans le régiment de Humet; et Eugène
Félicien Philippe de BADIER, capitaine d'infanterie dans le
régiment Belzunce. Gibert de BADIER, second fils de Gilbert
1er et d'Antoinette de Chevrier, auteur de la branche des seigneurs de
Roquebrune, vint s'établir en Provence. Il parait, par une lettre
du roi Henri IV, écrite de Marly en date du 9 juillet 1591, adressée
à M. de la Valette, gouverneur de Provence, que Sa Majesté
donna aux seigneurs de Sainte-Croix, de BADIER et d'Oigny, la confiscation
des biens d'Honoré Julien de Toulon. Gilbert de BADIER acquit
dans le mois d'oaût 1605 une portion de la seigneurie de Roquebrune
et fut trésorier général de France le 12 mars 1607.
Il épouse, le 3 juillet 1590 à Marseilles, Catherine de Fabre,
fille de Monet de Fabre, dont il eut : Henri de BADIER qui obtient
de M. le Pont-de-Corlay, lieutenant général des galères,
un certificat des services qu'il avait rendus au roi, lors de la reprise
des Isles de Sainte-Marguerite, en date du 12 mai 1637. Il fut exempté
du ban par permission de M. le compte d'Alès gouverneur de Provence,
donnée le 31 décembre 1650. Henri de BADIER obtint des
lettres patentes du roi Louis XIII, données à Paris, le 26
décembre 1633, par lesquelles, en récompense des bons et
agréables services qu'il avait rendus à la couronne, Sa
Majesté lui avait fait don et remise des droits de Lods, au sujet
de la terre et acquisition de la seigneurie de Roquebrune. Il avait
épousé par contrat du 7 septembre 1631, Nenture de Bérenger,
des seigneurs de Grand-Bois, dont il laissa : Gaspard de BADIER,
marié le 24 novembre 1667 avec Blanche de Galliffet, dont : Pierre
de BADIER, seigneur de Roquebrune, allié le 9 juillet 1734 avec
Geneviève de Mathieu, des seigneurs du Revest et du Villars de laquelle
il eut : Alexandre de BADIER, reçu dans la compagnie des gardes
de la marine au département de Toulon, le 12 octobre 1755. De la Branche
de Verseilles était Jacques de BADIER, Marquis de Verseilles,
d'abord capitaine dans le régiment du roi, infanterie, puis maréchal
des logis de la cavalerie, chevalier de St-Louis, en 1704; il leva ensuite
un régiment de hussards de son nom, fut nommé brigadier le
29 janvier 1709, maréchal de camp le 1 février 1719, commandeur
de St-Louis avec 3000 livres de pension le 20 avril suivant; et lieutenant
général le 20 février 1734, il est décédé
en 1736, laissant de Barbe Louise du Pleiffier, entre autres enfants : N...
de BADIER, compte de Verseilles, capitaine de cavalerie, marié
en première noce à Dôle à N... de Resie, veuve
de N... de Pressigny, dont elle avait une fille mariée au Marquis
de Saint-Simon, elle était soeur de N... de Resie, maréchal
de camp, le 10 février 1759 et marié en seconde noce vers 1760
à N... de Pourcheresse, demoiselle d'Estrabonne, fille de Jean Jacques
de Pourcheresse, Baron d'Estrabonne, conseiller au parlement de Besançon
et de Pascale Annette Tuilie Petit de Marvost; et Marguerite Louise
Victoire BADIER de Verseilles, mariée le 17 octobre 1735 à
Antoine de Gayardon, seigneur de Gresolles (Voir Gayardon). Cette famille
a été maintenu par les commissaires du roi députés
pour la vérification des titres de noblesse en 1667. Les armes : D'azur,
à un sautoir composé de quatre rayon de soleil d'or,
accompagné en chef d'un croissant.". Relevé aux Archives
Départementales d'Indre-et-Loire (Chambray) le 6 août 1997.
Origine du nom et de la famille :Origines patronymiques : Nom de baptême, de
profesion, sobriquet, lieux d'origine. " Le nom de baptême parait ici
pouvoir être écarté tout de suite. Avant d'essayer
un choix entre les trois autres catégories, notons, c'est important,
qu'au cours des siècles les noms de personnes et de lieux ont souvent
évolués, généralement dans le sens d'une plus
grande facilité de prononciation. Voyons d'abord les sobriquets et
les professions : 1) Bédier, en ancien français : Ignorant,
stupide. Pour un historien dont les scrupules se teinteraient parfois d'un
soupçon de sadisme, cette première explication serait
séduisante, mais allons plus loin. 2) Bladier, nom du Midi : Marchand
de blé. 3) Bastié (Midi), Batier : Marchand de bats. 4) Abadie
: Forme méridionnale d'abbaye; aphérèse (Var, Sud-est)
Badié. 5) Badier (Midi) : Ancien nom de profession, huissier (de Badar
: Ouvrir), qui ouvre les portes. Seulement, sauf le sobriquet, tous ces noms
sont du Midi. Il y a bien une tradition familiale selon laquelle nos Badier
seraient venus de Provence, mais c'est pure hypothèse. On les a aussi
rattachés sans preuves aux Badier de Verseilles, mais cette parenté
gratuite ne résoudrait pas le problème, car ceux-ci Auvergnats,
ne se sont, par une branche, fixés en Provence qu'au 16me siècle
alors que nos Badier étaient solidement établis en Bourgogne
depuis 200 ans au moins. Enfin dans le coin de Bourgogne d'ou sort surement
notre famille on ne trouve qu'un seul Badier pouvant justifier l'origine
sobriquet ou profession. C'est à la cherche des feux (liste des foyers
taillables) de 1397 : Les Laumes : Le Badier. Après celle,
réagissant contre la négligence probable d'un scribe, tous
les BADIER de Bourgogne seront de BADIER en un ou deux mots
pour simplifier, et sauf quand je tiendrais à reproduire exactement
un texte, j'écrirais "de BADIER", étant bien entendu
que, contrairement aux préjugés vulgaires, cette particule
"de" ne signifie rien quant à la qualité : Noblesse ou roture
de son possesseur. Limitons nous pour l'instant aux cherches de feux du baillage
d'Auxois : 1442, Les Laumes : Serfs solvables : Parisot de BADIER;
serfs insolvables : Etienne et Jacquot de BADIER. 1460, Les Laumes
: Etienne, Guillaume, Jean de BADIER, la veuve de Pernot de
BADIER. 1461 : Les Laumes : Guillaume, Etienne de BADIER. 1470,
Les Laumes : Guillaume de BADIER, Jean BADIER. 1543, Venarez :
Etienne et Clément de BADIER; Les Laumes : Colin, Guillaume,
Noël et Jean de BADIER. C'est la dernière cherche des feux
nominatives, après on saute à la fin du 16me siècle
et au commencement du 17me siècle pour retrouver les BADIER,
dont les notres, pullulant littéralement dans la petite zône
: Grignon, Les Granges-sous-Grignon, Les Laumes, Venarey, Alise-Ste-Reine.
On peut raisonnablement supposer que ce nom, exeptionnellement rare en France,
n'appartenait pas à des familles d'origine distincte vivant dans un
terroir d'environs trois kilomètres de rayon et ayant pour centre
Les Laumes. En ce qui concerne l'origine du nom ce "de" tenace, définitif
nous impose en quelque sorte la catégorie des lieux d'origine. Tournons
nous donc vers trois sortes de documents : Le dictionnaire des postes, les
dictionnaires topographiques des départements et les cartes d'état
major; d'accod sur l'emplacement des lieux dits, ils le sont parfois un peu
moins sur l'orthographe. Les Badier et noms voisins sont assez nombreux,
citons : Manche : Arrondissement d'Avranche : La Badière;
Pyrénnée orientales : Arrondissement de Céret : Badié;
Nièvre : Canton de St-Franchy : Les Badières; Saone-et-Loire
: Commune de Ratte : Les Badiers; Isère ; Commune de Chelieu : Badier.
Avant d'aller plus loin résumons deux documents ayant traits à
des BADIER de Saone-et-Loire : a) Lettre de l'an 1324 par laquelle
Odet Gros dit Badier de Sagy déclare tenir du Duc tout ce qui
est un la chatellenie de Sagy de la succession de Girard et Guillaume ses
frères (1); b) Bail à cens emphytéotique fait le 24
mai 1551 par Noble Jacques Bouton, coseigneur de Fay, à Antoine
et Nicolas Badier de Villejamais... paroisse de Ratte... d'un meix...
etc. (2). A plus de deux siècles de distance ces Badier
seigneur et fermiers, s'ils n'étaient pas parents, avaient en tout
cas même origine, car à sept kilomètres au nord-est de
Loubans se trouve Ratte, à quatre kilomètres au sud de Ratte
on voit Sagy et entre les deux : Les Badiers. Mais d'ou vient ce nom de lieu
dit : Badier ? Ici, je regrette de constater que j'ai du me tourner vers
un Allemand, Walther Von Wartburg pour connaitre l'origine de ce nom
français. Pour lui "Batare : Tenir ouvert" a eu de nombreux descendants,
et parmis eux Badié ou (dans l'Isère) Badier : "Ouvert,
exposé à tous les vents". Nous y sommes et, en nous penchant
sur les cartes d'état major, nous trouvons deux dénominateurs
communs à ces Badier dispersés dans toute la France. a) Sans
aucune exeption, ils se trouvent tous sur une croupe dénudée
visiblement la cible du "Dieu des tempêtes". b) En raison sans doute
de cette situation ingrate, ils n'ont pas grandi, restant des fermes ou des
petits hameaux de douze ou quinze habitants et limitant leur ambition à
se cramponner au sol et à survivre. Aurais-je, moi, l'ambition de
découvrir le Badier berceau des personnages de cette histoire ?
prétendre "remonter" une famille de serfs au delà de 1397 serait
de l'outrecuidance. Je hasarderais cependant une théorie. Parmis les
noms de lieux rencontrés plus haut un seul à exactement la
même horthographe que celui de notre famille, c'est Badier, Isère,
sur la commune de chelieu. Or ce hameau de Badier est à deux
kilomètres de Virieu. Mais d'autre part, dès 1359, on voit
un Pierre de Virieu parmis les chevaliers et écuyers composant une
montre d'armes à Dijon (03), est-il trop osé de penser qu'un
Virieu, quittant sa région natale est venu s'établir en Bourgogne
au 14me siècle emmenant avec lui quelques erfs dont un ou plusieurs
Badier ? Une chose en tout cas semble certaine, d'ou que ce soit en France,
nos Badier sont venus d'un pays rude battu par les rafales. Faut-il donc
s'étonner s'ils en ont gardé la nostalgie, si pour vivre en
Bourgogne et y reposer après leur mort ils ont choisi de hauts lieux
: Ste-Reine puis Flavigny ? Comme on voit bien surtout Philibert 2 de
Badier avec lequel nos lecteurs vont faire tout à l'heure très
ample connaissance... Philibert campé sur son aire Flavinienne et
scrutant les vallées environnantes de son oeil de vautour. Avant d'aborder
l'histoire de nos Badier, finissons en avec leurs homologues et, j'en suis
convaincu, leur parents; On les trouve dans la même zone tout au long
du 17me et du 18me siècle : 8 juillet 1668 : Thomas de BADIER,
marchand à Alise; 1679 : Jeanne de BADIER à Venarey,
Jean de BADIER, vigneron aux Granges; 1681 : Philibert de BADIER
l'ainé, Jacques de BADIER, vigneron à Grignon; 1701 :
Philibert de BADIER, praticien demeurant à Alize. De 1743 à
1769, on voit (registre de la taille encore) douze de BADIER, laboureurs
et vignerons aux Granges-sous-Grignon. A la taille de Grignon de 1683 à
1760, on dénombre treize de BADIER. Du reste, au cours du 18me
siècle, certains Badier s'écarteront un peu de cette zone en
se fixant à Mussy-la-Fosse, Massingy et Corrombles. Restons en là
et concluons sur ce premier point. Pour la plupart les BADIER restaient
de condition modeste jusqu'à la Révolution, les notres
s'élevèrent, tout en conservant avec plusieurs de leurs parents
"pauvres" des relations dont divers actes portent témoignage. Constamment
on verra chez nos BADIER les noms assez rares : Etienne et Philibert,
rencontrés déjà souvent ci-dessus.
Blason des (de) Badier (Jean-François) dans l'armorial général
de France (éd. de 1696, généralité de Bourgogne)
- Bibliothèque municipale de Dijon.
Site web, Bookbinding and the
Conservation of Books, A Dictionary of Descriptive Terminology, 1999:
Badier, Florimond ( fl 1645-1660 ) : A Parisian bookbinder, apprenticed
to Jean Thomas in 1630, who became a master bookbinder in 1645. His name
is associated with the art ofPOINTILLÉ (1) and sumptuous doublures.
Badier also used a distinctive finishing stamp cut in the shape of
a man's head. Only three signed bindings of his are known; many bindings
attributed to him may be the work of imitators. At one time, Badier
was considered by some authorities to be the legendary LE GASCON ; this was
largely because of his pointillé style. (73 , 347 ).
Traduction : La Reliure et la Conservation de Livres, Un Dictionnaire
de Terminologie Descriptive : Badier, Florimond ([fl] 1645-1660):
Relieur Parisien, en apprentissage chez Jean Thomas en 1630, il est devenu
un relieur du maître en 1645. Son nom est associé avec l'art
du POINTILLÉ et des doublures somptueuses. Badier utilisait aussi
un timbre distinctif ayant la forme d'une tête d'homme. Seules trois
reliures signées de lui sont connues; beaucoup d'autres qui lui sont
attribué sont peut-être le travail d'imitateurs. Pendant un
temps, Badier a été considéré par des autorités
comme étant le légendaire LE GASCON; celà en grande
partie à cause de son style du pointillé.
Gascon, Le : The name associated with a luxurious style of finishing
introduced in France in the early 17th century. The "Le Gascon" style, known
asPOINTILLÉ , is made up of interlaced bands, enclosing geometrical
compartments which are filled with innumerable gold dots, frequently elaborated
into lines and curves of remarkable luster and elegance. Over the years many
stories have arisen concerning "Le Gascon." One is that he worked as a
bookbinder, or, more likely, as a gilder in the Eve's bindery, from which
he took the style later to be called FANFARE STYLE (with its complicated
geometrical framework) as the basis of his designs, but worked out all of
the scrolls in fine dots instead of solid lines. While finishing tools had
begun to become more finely cut with the Eves, they reached th pinnacle of
delicacy and perfection with the work of this gilder or group of gilders.
It has also been suggested that "Le Gascon" was the pseudonym of a famous
binder, and it has been argued that the possibility exists that "Le Gascon"
was employed by Gaston, Duke of Orleans. Despite the speculation, there are
no records to indicate just who "the man" may have been. There are documents
indicating that someone going by the pseudonym "Le Gascon" was, as early
as 1622, producing the most splendid bindings of that time. It is perhaps
only natural that attempts should be made to link this name with the finest
of the early pointillé bindings, but to date no binding can be said
to he the work of anyone by that name. Three very intricate pointillé
bindings, signed by FLORIMOND BADIER , do exist, but since
Badier did not even begin his apprenticeship until 1630, he cannot
have been "Le Gascon." (124 , 132 , 154 , 347 , 373 ) ...
Traduction : Gascon, Le: Le nom est associé avec un luxueux
style de finition introduit en France dans le début du 17me siècle.
Le style "Le Gascon", connu comme POINTILLÉ, est fait de bandes
entrelacées, de compartiments géometriques clos qui sont remplis
avec d'innombrable pointillés ors, fréquemment
élaborées dans des lignes et des courbes remarquable d'éclat
et d'élégance. Au cours des années, beaucoup d'histoires
ont courru à propos de "Le Gascon." L'une est qu'il a travaillé
comme un relieur, ou plutôt, comme un doreur dans l'atelier de reliure
de Eve, dont il a pris le style, plus tard appelé style FANFARE (avec
sa structure géometrique compliquée) comme la base de ses
conceptions, travaillant tous ses manuscrits en fins points au lieu de lignes
solides. Pendant que les outils de finition commençaient à
devenir d'une coupe plus fine avec les Eves, ils ont atteint l'apogée
de la délicatesse et de la perfection avec le travail de ce doreur
ou groupe de doreurs. Il a aussi été suggéré
que " Le Gascon " était le pseudonyme d'un relieur célèbre,
et il a été discuté de la possibilité qu'il est
été employé par Gaston, Duc d'Orléans. En dépit
de la spéculation il n'y a pas de registres qui indiquent qui "l'homme"
a pu être. Il y a des documents qui indiquent que la personne portant
le pseudonyme "Le Gascon", dès 1622, produisait les plus splendides
reliures de ce temps. (...). Trois reliures très intriquées
en pointillés, signée par FLORIMOND BADIER, existent,
mais (...) Badier n'avait pas même commencé son apprentissage
en 1630, il n'a pas pu être "Le Gascon.".
Site web, Blasons des familles
d'Europe, Grand Armorial Universel par Frédéric Luz:
Badie : D'or à un pin de sinople ; au
chef crénelé de sable chargé d'un croissant accosté
de deux étoiles à huit rais, le tout d'or. (© AFE)
Badier (en Provence) : D'azur à
un sautoir composé de quatre rayons de soleil d'or, accompagné
en chef d'un croissant d'argent.
Site web, Bases de données
patrimoniales (ministère dela culture):
Site de la Légion d'honneur (Base
"Léonore" (21/06/2000)) : Recherche 'BADIER':
Site web, Bases 'Médailles
de Sainte-Hélène':
Les résultats ci-dessous représentent l'intégralité
des données retrouvées dans les dépouillements (Pour
connaître les côtes des dossiers de médaillés aux
Archives départementales concernées, visitez cette adresse:
http://stehelene.geneactes.org/cote.htm):
Relevé à la bibliothèque d'Eaubonne (95) le 29 octobre
1994.
(http://www.luz-herald.com/free/index.html)
.
(http://www.culture.fr/documentation/docum.htm).
(http://stehelene.geneactes.org).
Recherche 'BADIER' (21/06/2000) :
"Votre nom dans l'histoire" (base Minitel: 3617 GENEALOGY au 26/11/1998) :
Les officiers de la Légion d’honneur:
Les officiers de Napoléon:
Le dictionnaire des annoblis:
Naturalisation de 1900 à 1930:
Les émigrés de la Révolution Française:
Les officiers et les sous-officiers Français en 1788:
Guerre de 1914-1918 (Morts pour la France du 94me R. d’Infanterie):
Armorial d'Hozier 1696:
Site Web: 'MIGRANET' (12/12/2000) :
E-mail du souscripteur: adresse (URL): http://perso.easynet.fr/~bbroux/
Autre site sur les migrants (Québec):
Mémorial-GenWeb:Résultat de la recherche sur le patronyme Badier:
http://memorial.francegenweb.org/html/fr/index.php3
BADIER | - | Fougères | 35 | Monument aux Morts (Guerre 1914-18) N°15417 |
BADIER | Albert | Beauzée-sur-Aire | 55 | Monument aux Morts (Guerre 1914-18) +04/04/1918, N°88607 |
BADIER | Gaston | Saint-Barthélemy-de-Vals | 26 | Monument aux Morts (guerre 1939-45) N°39605 |
BADIER | Henri | Beauzée-sur-Aire | 55 | Monument aux Morts (guerre 1914-18) +29/05/1918, N°88608 |
BADIER | P. | Langon | 35 | Monument aux Morts |
BADIER | Pierre | Rennes | 35 | Panthéon |
BADIER | Raymond | Martignas-sur-Jalles | 33 | Liste des fusillés du camp de Souge (guerre 1939-45) +11/01/1944 Martignas-sur-Jalles, N°27001 |
Onomastique :
(Site : http://www.jtosti.com/noms/b1.htm)
Descendance de BADIER Gilbert:
BADIER Gilbert, + > ../../1558, Sieur de La Motte-Bonvin (Cusset 03), notaire royal à Cusset
(Merci à Laurent Desché - Président de la Bibliothèque généalogique d'Orléans (B.G.O.), Bases de données: http://www.bgo.atmedia.fr - L'Allier des familles : http://www.geocities.com/bgorleans - Mariniers et bateliers :http://www.geocities.com/marbatfr )
x 12/07/1551 Ris (63)
de CHERVIERS Antoinette
_| BADIER Amable, + > ../../1580, Sieur de La Motte-Bonvin (Cusset 03), notaire royal à Cusset
_| N.
_| _| BADIER Antoine, Sieur de La Motte-Bonvin (Cusset), élu de Cusset en 1617
_| _| x ? ../../1617
_| _| BACHELIER Marie
_| _| _| de BADIER de VERSEILLES Philibert, + < ../../1639, Sieur de La Motte-Bonvin (Cusset 03)
_| _| _| CORNIL Marie, Dame de Verseilles (Saint-Etienne de Vicq 03)
_| _| _| _| de BADIER de VERSEILLES Gilbert, ° ? ../../1632 + < ../../1698, Écuyer, gendarme de la compagnie du roi
_| _| _| _| x 30/01/1655 Châteldon (63), C.M.
_| _| _| _| de LA VILLE Marguerite
_| _| _| _| _| de BADIER de VERSEILLES Marie, + > ../../1736
_| _| _| _| _| x 1680/1690
_| _| _| _| _| de LA CHAISE des GARETS Jean Joseph + > ../../1736, Écuyer, seigneur des Garrets, conseiller du roi, lieutenant criminel à Cusset
_| _| _| _| _| _| de LA CHAISE des GARETS Marguerite, Dame de Longeville
_| _| _| _| _| _| x 13/03/1736 Cusset (03)
_| _| _| _| _| _| FORISSIER Annet Marie, Écuyer, seigneur des Blanes, Longeville, gendarme dt Ris